Les cahiers de l’innovation sociale congolaise (CISC) sont une réponse multidisciplinaire des experts de l’INIS, aux besoins et attentes des entreprises, décideurs politiques dans les domaines de la guerre économique et l’intelligence économique. Il sera question dans ces pages, en général, de l’innovation sociale congolaise. L’innovation sociale congolaise consiste à élaborer des solutions techniques nouvelles à des besoins d’organisations et de performances globales, nouveaux ou mal satisfaits, dans les conditions actuelles du marché et des projets d’entreprise, en impliquant la participation et la coopération des acteurs concernés, notamment les acteurs économiques, politiques, clients ou usagers. Notre appareil de solutions aura une forte dimension stratégique car, il permet aux entreprises de faire face aux enjeux de transformation interne afin, de rester performantes sur leur core business et démultiplier leurs impacts dans leur domaine d’activité ou territoires d’intervention.
Qu’est-ce que c’est le cahier de l’innovation sociale congolaise (CISC) ?
C’est une revue théorique et pratique congolaise en version numérique, qui identifie les déficits et besoins stratégiques des organisations, surveille les dynamiques économiques tant au niveau international, qu’académique afin de produire de la connaissance utile pour décrypter la réalité de la guerre économique qui sévit à travers le monde. Nos publications privilégient l’analyse, la prévision et les solutions concrètes, opérationnelles pour les entreprises et les décideurs politiques sur les projets d’entreprise, courant d’affaires, complexités africaines et internationales, à travers une approche multidisciplinaire qui combine les niveaux locaux, nationaux et globaux.
Quelles sont les missions ?
Identifier, collecter, traiter puis apporter des solutions aux besoins stratégiques en rapport avec la guerre économique et l’intelligence économique aux entreprises congolaises, décideurs politiques, organisations.
Le public-cible
Vitrine de l’expertise de l’INIS, d’une fréquence trimestrielle, ils s’adressent prioritairement aux décideurs politiques et économiques, aux milieux académiques, aux leaders d’opinion ainsi qu’aux représentants des sociétés civiles.
